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Nous voilà déjà à l’aube d’une nouvelle rentrée scolaire. Les parents commencent à dresser leurs listes de choses à faire et se préparent pour les factures qui pointeront bientôt le bout de leur nez. Tandis que les familles avec de jeunes enfants s’attendent à débourser quelques centaines de dollars, plusieurs parents dont les enfants poursuivent des études postsecondaires risquent de devoir se serrer la ceinture.
La plus récente édition du Baromètre de l’épargne-études de Kaleido1 dévoile sans surprise que la grande majorité des parents considèrent les études postsecondaires de leur enfant comme une priorité. C’est en effet 97 % d’entre eux qui affirment que l’éducation est très importante! Malheureusement, les études postsecondaires sont loin d’être abordables, ce qui en fait une source d’inquiétude grandissante pour 70 % des parents interrogés. Et avec raison, puisqu’ils estiment que le coût des études postsecondaires s’élève en moyenne à 28 780 $ pour un seul enfant.
Il n’est donc pas étonnant que la plupart des familles essaient de prendre une longueur d’avance. Des 65 % qui épargnent en vue des études postsecondaires, la majorité a opté pour le REEE, un véhicule de placement spécialement conçu pour l’épargne-études.
Pourquoi le REEE demeure-t-il le choix numéro un des parents? Voyons voir ce qui le rend si populaire.
Ce qui rend le REEE si attrayant, c’est d’abord et avant tout les subventions gouvernementales, qui constituent la raison principale pour laquelle les parents choisissent le REEE pour leur projet d’épargne-études2. Un choix tout à fait logique, puisque le REEE est le seul et unique produit financier donnant accès à ces subventions.
Mais combien d’argent y a-t-il à gagner concrètement? D’abord, le gouvernement fédéral offre la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE), qui représente 20 % des premiers 2 500 $ cotisés chaque année. Le gouvernement du Québec fournit également un 10 % supplémentaire avec l’incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE). On parle donc d’un minimum de 30 % en subventions gouvernementales, et ce, peu importe le revenu familial. Pas étonnant que le REEE soit le champion de l’épargne-études!
Les familles à faible revenu peuvent même recevoir des sommes supplémentaires en SCEE et en IQEE, sans oublier le Bon d’études canadien (BEC), une subvention pouvant atteindre jusqu’à 2 000 $ par enfant. En tout, les gouvernements versent donc jusqu’à 12 800 $ par enfant3. Et tout comme les cotisations, les subventions fructifient à l’abri de l’impôt.
Mais bien que les subventions gouvernementales soient la raison principale pour laquelle les parents sont si intéressés par le REEE, c’est loin d’être l’unique avantage de ce produit!
en quelques secondes!
Bien que l’éducation soit souvent ce qu’il y a de plus important pour les parents, certains sont également préoccupés par leur retraite. Pas de problème, on peut faire d’une pierre deux coups en investissant d’abord dans le REEE!
Lorsque le REEE arrive à échéance, les cotisations sont remboursées à la personne qui avait ouvert le plan, sous réserve des risques de placement — et ce montant n’est pas imposé! Les parents peuvent donc décider d’ajouter cette somme au fonds déjà accumulé pour les études de leur enfant, ou bien de l’investir dans leur REER.
Les étudiants aussi tirent avantage du REEE. Le fait d’avoir un REEE à leur nom est une bonne source de motivation dans la poursuite de leurs études.
Les parents ne sont pas seuls à se soucier du coût des études postsecondaires : les deux tiers des jeunes partagent également cette inquiétude. Heureusement, les sommes amassées dans le REEE allègent le poids des frais scolaires, ce qui permet aux étudiants de se concentrer sur leurs études et d’accumuler moins de dettes. Un aspect non négligeable quand on sait que 79 % des jeunes travaillent plus de 10 heures par semaine pendant leurs études4.
Avec le REEE, les parents peuvent avoir l’esprit tranquille sachant que leur enfant aura la liberté de poursuivre les études de son choix. Tous les niveaux d’études postsecondaires — du professionnel au collégial, en passant par l’université — sont admissibles aux paiements d’aide aux études (PAE)5. Les jeunes peuvent étudier où bon leur semble et utiliser les PAE pour payer toute dépense reliée aux études, comme les frais d’inscription, le loyer, l’épicerie et les fournitures scolaires.
Bref, le REEE comporte nombre d’avantages pour les familles. En faisant ce choix d’investissement judicieux, les parents permettent à leurs enfants de voir grand, sans qu’ils soient freinés par leurs moyens financiers!
1, 2, 4. Baromètre de l'épargne-études 2019 : étude menée en collaboration avec la firme de sondage CROP, par le biais d’un panel Web auprès de 1 030 Québécois, du 8 au 26 novembre 2018.
3. Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20 % à 40 % et incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10 % à 20 %. Selon le revenu net familial rajusté. Le montant maximum annuel versé en SCEE est de 600 $ et de 300 $ en IQEE. Le montant maximum versé à vie par bénéficiaire est de 7 200 $ en SCEE et de 3 600 $ en IQEE. Bon d'études canadien pouvant atteindre 2 000 $ par bénéficiaire, pour un enfant né après le 31 décembre 2003 et dont la famille est financièrement admissible. Certaines conditions s'appliquent. Consultez notre prospectus.
5. Pourvu que le programme sélectionné soit un « programme de formation admissible » ou un « programme de formation déterminé », comme défini à la Loi de l’impôt sur le revenu (Canada).