Écrit par : Kaleido
Les dépenses accompagnant la rentrée scolaire sont au cœur des préoccupations des parents, d’autant plus qu’elles augmentent d’année en année sous l’effet de l’inflation, mais également avec l’âge des enfants. En 2017, les parents québécois ont dépensé en moyenne 1016 $1 par enfant pour les effets scolaires et les frais d’inscription, tous niveaux scolaires confondus (du préscolaire à l’universitaire), soit une hausse de 10 % par rapport à 2016 où ils s’élevaient à 9212 $. En 5 ans, ces dépenses ont même subi une hausse de plus de 44 % : elles s’élevaient à 705 $3 en moyenne par enfant en 2013. Par ailleurs, plus les enfants avancent dans leur cheminement scolaire, plus les dépenses liées à la rentrée des classes augmentent. Il faut compter en moyenne2 :
Et, bien évidemment, plus la famille compte d’enfants, plus la facture de la rentrée est salée. La rentrée scolaire peut donc vite s’avérer très onéreuse. Si la plupart des parents assument ces dépenses à même leur compte courant, il est possible de les anticiper et d’épargner en conséquence.
Près de 80 % des parents considèrent le financement des études postsecondaires comme étant une préoccupation importante2. Le coût des études est sans cesse en augmentation. Alors qu’il en coûte actuellement aux alentours de 100 000 $ pour effectuer deux années de cégep et trois années d’université au Québec, on estime que les frais augmenteront à un peu plus de 138 000 $ pour le même parcours scolaire en 20354.
Contrairement aux dépenses de la rentrée scolaire, qui reviennent chaque année, et qui sont pour une majorité de Québécois directement assumées par le compte courant, les coûts des études postsecondaires peuvent être prévus longtemps à l’avance.
En investissant dès le plus jeune âge d’un enfant dans un régime enregistré d’épargne-études (REEE), les familles pourront profiter de généreuses subventions gouvernementales pouvant atteindre jusqu’à 12 800 $5 par enfant (selon votre revenu familial). En tant que souscripteur d’un REEE, vous ne payez pas d’impôt sur les revenus de ce placement enregistré, il s’agit donc d’une façon futée de diminuer l’impact financier que peuvent représenter les études postsecondaires sur votre budget courant.
Pour en savoir davantage sur les différents plans disponibles, visitez le www.kaleido.ca/fr/placements-reee.
1. Baromètre de l'épargne-études 2018 : étude menée en collaboration avec la firme de sondage CROP, par le biais d’un panel Web auprès de 1032 Québécois, du 9 au 17 novembre 2017.
2. Baromètre de l'épargne-études 2017 : étude menée en collaboration avec la firme de sondage CROP, par le biais d’un panel Web auprès de 1000 Québécois, du 20 au 28 octobre 2016.
3. Sondage CROP effectué auprès de 1 000 Québécois, sous le thème « L’importance de la scolarité des enfants québécois », réalisé pour le compte de Kaleido, du 15 au 20 mai 2013, par le biais d’un panel Web.
4. Coût pour compléter deux années de Cégep et trois années d’université au Québec, logement inclus. Augmentation annuelle de 1,7 %. Sources : ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, ministère de la Famille, Statistique Canada, Société canadienne d’hypothèques et de logement.
5. Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20 % à 40 % et Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE, offert au Québec seulement) de 10 % à 20 %. Selon le revenu net familial rajusté. Le montant maximum annuel versé en SCEE est de 600 $ et de 300 $ en IQEE. Le montant maximum versé à vie par bénéficiaire est de 7 200 $ en SCEE et de 3 600 $ en IQEE. BEC : Bon d’études canadien, pouvant atteindre 2 000 $ par bénéficiaire, pour un enfant né après le 31 décembre 2003 et dont la famille est admissible financièrement. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus.