Écrit par : Kaleido
Avez-vous revu vos habitudes de consommation en 2023? Vos priorités d’épargne et dépenses mensuelles ont-elles changé? Bon nombre de familles ont ressenti les effets de l’inflation dans leur quotidien. Avec la hausse des dépenses liées au panier d’épicerie et l’augmentation des taux hypothécaires, le budget en a pris un coup! Il est maintenant temps de penser à la meilleure stratégie pour profiter au maximum de votre retour d’impôt et ainsi mieux parer aux imprévus et aux impacts de l'inflation.
En 2023, les familles québécoises ont dû diminuer leurs dépenses afin de faire face à l’augmentation du coût de la vie. Cette diminution de dépenses a inévitablement entraîné une réduction de l’épargne pour plusieurs. Si vous avez tout de même été en mesure de cotiser à votre REER en 2023 malgré le contexte économique, vous aurez peut-être droit à un remboursement d’impôt intéressant et il y a plusieurs stratégies pour en tirer profit.
Qui paie ses dettes s’enrichit! C’est encore plus vrai si vous êtes en mesure de rembourser des emprunts à fort taux d’intérêt, comme certains prêts personnels ou, mieux, un solde impayé de carte de crédit qui vous siphonne des dizaines et des dizaines de dollars chaque mois.
Trop peu de parents mesurent à quel point il peut être rentable de cotiser à un REEE. En effet, selon votre revenu familial, vous pourriez bénéficier de subventions gouvernementales de 30 % à 60 %1! Cela pourrait représenter un montant supplémentaire dans votre épargne allant jusqu’à 12 800 $ par enfant au Québec (9 200 $ au Nouveau-Brunswick)2. Qui dit mieux?
Ainsi, supposons qu’une famille à moyen revenu reçoive ce printemps un remboursement d’impôt de 1 000 $ et décide de l’investir dans un REEE pour leur enfant de 5 ans. Au moment d’entamer des études post-secondaires, cette décision futée pourrait valoir près du double, soit environ 1 850 $. Et si, au lieu d’investir un seul montant, une seule fois, on répétait le même manège chaque printemps, pendant 10 ans? Le calcul est simple : le REEE pourrait représenter, à terme, près de 18 500 $3. Un bon coup de pouce lorsque l’enfant aura à assumer les nombreuses dépenses liées à ses études : nouvel ordinateur pour le cégep, frais de scolarité, livres, appartement, etc.
Vos enfants ont terminé leurs études postsecondaires et vous êtes maintenant prêts à décaisser, vous pouvez boucler la boucle et injecter plus facilement des sommes additionnelles dans votre REER. Comment? En retirant, au profit de votre enfant, la partie des subventions et des revenus accumulés dans son épargne-études4 et en récupérant, en tout ou en partie, pour vous-même le capital que vous y avez cotisé. En effet, le retrait du capital est libre d’impôt; ce montant peut alors être investi ailleurs, comme dans un REER. Jumelées à votre retour d’impôt, ces cotisations plus importantes génèreront, à leur tour, plus d’économies fiscales et vous aurez profité plusieurs fois d’incitatifs avantageux avec les mêmes dollars!
Évidemment, ces stratégies s’adressent d’abord à des familles qui ont des revenus et déductions suffisantes pour être assujetties à l’impôt sur le revenu. Il est par contre possible, même pour les familles moins aisées, de souscrire un REEE grâce au Bon d'études canadien (BEC). Il s’agit d’une subvention, pouvant atteindre 2 000 $ par enfant, qui est offerte aux familles à faible revenu et permet de démarrer un REEE sans même avoir à y cotiser.
Communiquez avec un(e) de nos représentant(e)s en plans de bourses.
1. Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20 % à 40 %. Selon le revenu net familial rajusté. Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10 % à 20 % (offert au Québec seulement). Selon le revenu net familial rajusté. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus à kaleido.ca.
2. Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20 % à 40 % et Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10 % à 20 %. Selon le revenu net familial rajusté. Le montant maximum annuel versé en SCEE est de 600 $ et de 300 $ en IQEE. Le montant maximum versé à vie par bénéficiaire est de 7 200 $ en SCEE et de 3 600 $ en IQEE. Bon d’études canadien (BEC), pouvant atteindre 2 000 $ par bénéficiaire, pour un enfant né après le 31 décembre 2003 et dont la famille est financièrement admissible. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus à kaleido.ca.
3. Taux de rendement de 3 % et taux de subvention gouvernementale de 30 %. Calculs pour fins d’illustration seulement. Les rendements ne sont pas garantis.
4. Consultez la description des programmes d’études postsecondaires admissibles dans notre prospectus à kaleido.ca. Certaines conditions s’appliquent. Retrait maximum autorisé selon les prescriptions de la Loi de l’impôt sur le revenu.